Suite de CONVERSATION - BARS

Harm débarra la porte de son modeste condo.
Pour un célibtaire, tout était en ordre. Mais, avec son éducation militaire, il ne pouvait en être autrement..
Situer au septième étage de cet immeuble, la ville était à ses pieds et la vue magnifique. On pouvait voir sans peine le va-et-vient de la circulation. Bien que les gens paraissent des nains, il était possible de les voir se promener.
Harm ferma prestement les vénitiennes avant d'ouvrir les lumières.
Si ils avaient été suivis, ces pourchasseurs devaient surveiller dans la rue.
Après avoir allumer une lampe loin de la fenêtre, il offre à Jenny quelque chose à boire.

Vous voulez un café, une bière?

Hummmm, j'en ai aucune idée! Cela vous déplaît d'être ici ?

Il lui aurait bien proposé de téléphoner à Gibbs ou ses body guards pour venir la chercher, mais il crût qu'elle pouvait choisir elle-même ce qu'elle entendait faire.

On peut parler du dossier qui nous concerne, cela nous fera oublier ces stupides moments qui ont été gâchés notre tranquilité.
propose-t-il.

Il la regarde et se demande s'il devrait lui offrir de dormir un peu. Il veillera à ce que rien ne la dérange.

Environ 8 ans,. C'est une occasion que j'ai eu, sinon, j'aurais encore un petit appartement.

Il décide d'oser.

Voudriez-vous aller vous reposer une heure ou deux ? Je veillerai à vous réveiller pour aller vous reconduire chez vous un peu plus tard.

Harm sourit à sa remarque.

Sentez-vous à l'aise, comme chez vous. Pendant ce temps, je vais tenter de voir ce qui se passe avec la situation du restaurant. Je ne veux pas continuer de vous inquiéter mais je préfère me rassurer avant de vous ramener chez vous.

Harm se dit que pendant qu'elle dormirait, il téléphonerait au bureau pour que l'on envoie ses gardes du corps. Il préférait faire un action inutile que d'avoir sur la conscience un "j'aurais dû"!

Sentant une certaine crainte chez elle, Harm, de son regard charmeur et coquin, lui expiique:

N'ayez aucune crainte, je ne ferai rien de répréhensible. Ce n'est pas mon genre. Sauf que pendant que je vais tenter de trouver une solution, vous pourriez vous détendre.
Ajoutant en s'assoyant dans un fauteuil,
Mais je vais téléphoner à votre bureau que l'on envoie vos garde-corps pour vous reconduire chez vous. Vous vous sentirez plus en sécurité.
Le capitaine ne savait pas après qui ces gens en avaient. Donc s'ils se séparaient, on verra bien lequel de lui ou Jenny est la cible.

Je ne vuex tellement pas qu'il vous arrive quelque chose.
dit-il en posant sa grande main sur la sienne en signe de protection, sans aucune arrière pensée.

E laissant sa main, il lui demande:
Seriez-vous prête dans ce cas à ce que l'on reparle de notre dossier ?

Il la regardait de son petit air interrogateur et son sourire en coin.

Alors que Harm allait lui poser quelques question, on frappa à la porte.
Harm regarda Jenny un instant, resta calme, se leva et se dirigean vers la porte.

Qui est là ? demande-t-il de sa voix puissante et ferme.

Aucune réponse. Il fit signe à Jenny d'aller dans la chambre, prit son arme de service dans le buffet, pris quelques balles, derrière une petite porte camouflée dans la cloison, la charge et répète:

Qui est là ?

[i]En silence, Jenny alla directement dans la chambre du capitaine. Miracle pour une chambre d'homme, elle est impeccable! Pas une seule poussière sur sa table de chevet. Enfin, elle n'est pas ici pour regarder son ménage, alors elle ferme un peu la porte de la chambre et tente d'écouter qui est à la porte.

Harm reconnut la voix de Gibbs. En ouvrant la porte, il demande:

Que faites-vous ici ?

Il le laisse entrer et poursuit:

Qui vous a dit que nous étions ici ? Ni Jenny, ni moi vous avons téléphonné ?
Se rappelant Jenny, il va vers la chambre en disant:

Jenny vous pouvez sortir, c'est votre agent Gibbs. Vous lui avez téléphoné ?

Si la situation n'avait pas été ce qu'elle était Harm aurait bien fait marcher Gibbs. Mais l'heure n'était pas à la rigolade.

Il entre donc dans le logement avant de fixer le capitaine Rabb, cc'était vrai que ça fait bizarre comme ça, mais ça n'était la faute a aucun des deux si il se retrouvait là.

-Non vous non, mais quelqu'un d'autre oui, votre sortie n'était pas des plus calmes et tout le monde se connait partout à la fin?

Il la laissa allez prévenir sans bouger de sa position d'avant.

-Qu'est ce qui c'est passé exactement?

Demanda t-il en attendant que sa supérieur sorte de là.

Bien que Harm se sait plus ou moins apprécié de Gibbs, il reste poli l'un envers l'autre.

A vrai dire, je ne sais pas lequel de nous deux est visé. Nous étions attablé à jaser de chose et d'autres quand j'ai vu par la fenêtre qu'on était surveillé. Je n'ai rien dit à Jenny. Ils rôdaient autour de ma voiture. J'ai donc demandé qu«'on nous appelle un taxi et je nous ai fait conduire ici.

Allant doucement à la fenêtre, il poursuit:

Je ne crois pas avoir vu quelqu'un mais on ne sait jamais. Je vais chercher Jenny. Elle s'est caché dans ma chambre en entendant la porte.

Il ouvre doucement la porte: Jenny, c'est votre agent Gibbs qui est ici, dit-il en se dirigeant vers elle. Venez, il n'y a plus de danger. Il va vous ramener chez vous en sécurité.